Article intéressant d’Actu.fr qui résume bien la situation. Ils ont même réussi à interroger le recteur de l’académie de Toulouse, Mostafa Fourar, qui a excellé dans la lanque de bois … jugez plutôt : > « Je me suis assuré que c'est toujours l'intérêt supérieur de l'enfant qui a primé dans les décisions. Certains peuvent dire que la loi est sévère, mais on a appliqué la loi. Dans les refus, la plupart portait(sic) sur des parents dont les enfants sont nés en 2019 et qui refusent l'obligation de scolarisation à 3 ans. » \-Mostafa Fourar, recteur de l'Académie de Toulouse > « L’administration n’applique pas les règles de manière inhumaine, elle applique la loi. Là où il y a de l’incertitude, c’est le juge qui tranche. C’est un sujet délicat, nouveau, il faut y aller sans stigmatisation ». \-Mostafa Fourar, recteur de l'Académie de Toulouse Alors il faut choisir, il a appliqué la loi sans réfléchir où il a toujours fait primer l’intérêt supérieur de l’enfant ? Nous allons rédiger un droit de réponse sur cette sortie, pour reprendre point par point …