+ Il y a des mots qu’on voudrait ne pas employer : intégration, assimilation, radicalisation, fondamentalisme, ils sont au cœur d’Araberlin, ils sont la conséquence de la seule xénophobie. La peur de l’Autre. Cet Autre qu’on accepte dans une vision extensive quand tout va bien, dont on réduit le périmètre d’acceptance quand la tension monte. La xénophobie et son cortège harcelant : suspicion, rejet, calomnie. +
++ Araberlin est de ces textes qui appuient là où ça fait mal, qui posent un problème. La xénophobie, cette peur de l’étranger dans une acceptance variable en fonction de la tension, est un sentiment humain, presque atavique. Les conséquences en sont inacceptables… on fait quoi ? +
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+ Sur un plateau dépouillé, les comédiens réussissent avec excellence à nous faire partager ce texte dense qui résonne avec l'actualité, aux propos forts, voire violents. À découvrir !
La question n'est pas de savoir si MoKtar est un terroriste ou pas, mais de comprendre pourquoi face à cette incertitude et suite aux pressions policières et médiatiques, les relations familiales, amicales et de voisinages vont être ébranlées. Les personnages avec dynamisme et conviction défendent leur point de vue. Le texte trace des chemins qui interrogent, peut-être un peu trop en si peu de temps, mais il ne nous donne pas de réponse ou plutôt , nous donne de multiples réponses. A nous spectateurs de poursuivre .Pièce ancrée dans l'actualité.
Quel bonheur une pièce pleine de sens , des acteurs qui vivent leurs rôles avec justesse. On vit une palette d émotion pendant et en sortant que de questionnements sur des sujets bien d actualité.
Portée par des comédiens, jeunes et moins jeunes, d'une grande justesse, cette pièce est malheureusement toujours d'actualité et donne à réfléchir. Une mise en scène souvent percutante. Bravo !
Note d’intention
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